Il y a des bouteilles qu’on ouvre comme on ouvre un vieux bouquin : avec respect, curiosité… et une bonne dose de plaisir. L’Armagnac Marcel Trépout 1965, c’est exactement ça. Un petit voyage dans le temps version liquide, sans billet d’avion ni passeport.
Un type discret, mais qui a du vécu
Marcel Trépout, ce n’est pas la maison qui fait le plus de bruit dans le monde des spiritueux. Et pourtant… leurs armagnacs, surtout les vieux millésimes, ont une vraie personnalité. Pas besoin de gros logos ni de storytelling tapageur. C’est sobre, c’est classe, c’est du vrai.
Et ce 1965 ? Il a passé plus de 50 ans en fût, peinard, à prendre son temps dans les chais du Sud-Ouest. Pendant ce temps-là, le monde a vu passer mai 68, la chute du mur de Berlin, le début d’Internet… Lui, il a juste vieilli. Mieux que nous.
Dans le verre : du bois, du fruit, et de la poésie gasconne
Au nez, ça sent le bois ancien, la prune bien mûre, un peu de tabac blond, de cuir souple, et même un soupçon de cacao amer. Pas de parfum agressif, tout est fondu, harmonieux. Ça sent la cave, le bois humide, les souvenirs d’enfance dans la maison des grands-parents.
En bouche, c’est rond, chaud, profond. Le genre de truc qui ne pique pas, mais qui s’installe gentiment au creux du palais et te dit : « Pose-toi deux minutes, on va discuter. »
Un Armagnac à boire... sans costume-cravate
Ce que j’aime avec ce genre de bouteille, c’est qu’elle ne demande rien. Pas besoin d’être œnologue ou collectionneur. Tu peux le boire en fin de repas, avec un pote, un cigare, un carré de chocolat noir (très noir), ou juste... avec le silence.
Pas de cérémonial pompeux. On le sert dans un verre ballon ou tulipe, on le laisse respirer, et on l’écoute.
Alors, on l’ouvre ou on la garde ?
Perso, je dis : on l’ouvre. Un armagnac comme ça, c’est fait pour être bu, partagé, vécu. C’est pas une relique à regarder en se disant “un jour”. Ce jour-là, c’est maintenant.
Armagnac - Marcel Trepout - 1965
236,00 €
TTC
Il y a des bouteilles qu’on ouvre comme on ouvre un vieux bouquin : avec respect, curiosité… et une bonne dose de plaisir. L’Armagnac Marcel Trépout 1965, c’est exactement ça. Un petit voyage dans le temps version liquide, sans billet d’avion ni passeport.
Un type discret, mais qui a du vécu
Marcel Trépout, ce n’est pas la maison qui fait le plus de bruit dans le monde des spiritueux. Et pourtant… leurs armagnacs, surtout les vieux millésimes, ont une vraie personnalité. Pas besoin de gros logos ni de storytelling tapageur. C’est sobre, c’est classe, c’est du vrai.
Et ce 1965 ? Il a passé plus de 50 ans en fût, peinard, à prendre son temps dans les chais du Sud-Ouest. Pendant ce temps-là, le monde a vu passer mai 68, la chute du mur de Berlin, le début d’Internet… Lui, il a juste vieilli. Mieux que nous.
Dans le verre : du bois, du fruit, et de la poésie gasconne
Au nez, ça sent le bois ancien, la prune bien mûre, un peu de tabac blond, de cuir souple, et même un soupçon de cacao amer. Pas de parfum agressif, tout est fondu, harmonieux. Ça sent la cave, le bois humide, les souvenirs d’enfance dans la maison des grands-parents.
En bouche, c’est rond, chaud, profond. Le genre de truc qui ne pique pas, mais qui s’installe gentiment au creux du palais et te dit : « Pose-toi deux minutes, on va discuter. »
Un Armagnac à boire... sans costume-cravate
Ce que j’aime avec ce genre de bouteille, c’est qu’elle ne demande rien. Pas besoin d’être œnologue ou collectionneur. Tu peux le boire en fin de repas, avec un pote, un cigare, un carré de chocolat noir (très noir), ou juste... avec le silence.
Pas de cérémonial pompeux. On le sert dans un verre ballon ou tulipe, on le laisse respirer, et on l’écoute.
Alors, on l’ouvre ou on la garde ?
Perso, je dis : on l’ouvre. Un armagnac comme ça, c’est fait pour être bu, partagé, vécu. C’est pas une relique à regarder en se disant “un jour”. Ce jour-là, c’est maintenant.
Fiche technique
- Appellation
- Amagnac
- Domaine
- Marcel Trépout
- Millésime
- 1965
- Contenance
- 0.7
- Couleur
- Ambré
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